Effectivement.
Pour le brochet, c'est spectaculaire.
enfin, surtout chez ceux qui ferrent mal...
l'élasticité du nylon maintien une tension lors des rapprochés du poisson, des coups de tête, des sauts hors de l'eau...
au bout de quelques minutes de combat, les lèvres de la plaie peuvent laisser ressortir l'hameçon, même avec un ardillon.
sans, n'en parlons pas.
C'est aussi pourquoi la manière de mener - ou de subir ! - le combat est prépondérante. Si on veut tracter en force un gros poisson, on s'expose à des déconvenues

c'est une question de style personnel, qui découle lui-même généralement beaucoup de la personnalité du pêcheur.
En clair, ceux qui espèrent convaincre sont généralement plus performants que ceux qui ont tendance à imposer leurs idées
C'est aussi pourquoi je trouve que les nénettes ont tendance à bien mieux combattre les gros poissons que les mecs. Possible réponse de l'évolution à des millénaires de machisme... le roseau plie mais ne rompt point
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avec des bonnes godasses, tu passes!