J'ai trouvé cet excellent article en parcoutant le web.

http://www.humanite.presse.fr/journal/1997-03-10/1997-03-10-774128

Je pense qu'il vous intéressera, car il parle de l'entretien des cours d'eau, des frayères, du coût, ainsi que des métiers qui pourraient en découler.
Pour ma part, j'ai beaucoup apprécié cette manière de procéder !
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Jeff
Dame fario : Si tu ne finis pas dans les temps, tu finiras dans le lac.

Excellent ... mais il aurait été préférable de ne pas pèter la rivière. La rectification de cours d'eau était à la mode il y a une trentaine d'années ou plus (remembrement, parcelles plus grandes, archi mécanisation avec des engins monstrueux). Elle s'est poursuivit dans bien des régions. La destruction des talus aussi. Les deux aggravent les crues en accélérant le la vitesse d'écoulement de l'eau.
Et en, plus çà coûte très cher de restaurer et le résultat n'est pas acquis.
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On a les poissons qu'on mérite...

Cool le lien ..........SPO à raison, durant de nombreuses années, il y à eu beaucoup de remembrements, et maintenant on répare tout cela !!!!!

Citation :

SPO :
Et en, plus çà coûte très cher de restaurer et le résultat n'est pas acquis.

La restauration d'un cours d'eau revient à un coût très élevé pour un résultat un peu incertain. Je crois qu'à ce jour, personne n'est capable de contrôler des rivières ou un cours d'eau après une crue. Savoir réellement ce que charie la rivière..............
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FLY
http://fly-fishing.forumculture.net/index.forum
Adour Pêche Passion

Et oui...
Pourtant les anciens (ceux de la génération du début du XXeme siècle ont à l'époque criés fort et clair qu'on allait tout bousiller, du moins ceux de chez moi...
Pourquoi, mais alors pourquoi ne les a t-on pas écouté ? Pour le profit ? Mais quel profit peut-on tirer en sciant la branche sur laquelle tout le monde est assis ?
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Jeff
Dame fario : Si tu ne finis pas dans les temps, tu finiras dans le lac.

c'est consternant de vérité, par la même occasion, je lis, ou je relis le livre d'Audoubert sur les pyrénées (Milles Rivages Pyrénéens), il y a une partie historique, extrêmement intéressante, car on voit déjà la course au profit qui commence déjà vers 1850 et même quelques fois avant, avec des perçages de montagne hallucinant pour capter l'eau de vallée voisine ou de lacs voisins, quelquefois, tout a pété, comme une vengeance de la nature ou un sursaut !

Je pense sincérement et malheureusement, qu'il faut aider, épauler, assister la nature, mais surtout après l'avoir longuement observée, écoutée, comprise, comment ne peut-on pas "prendre la graine" là où elle est ?

Les vieux ont toujours raison, quand ceux dont je parle et à qui je pense, passaient leur temps à vivre la nature...

J'ai un ami, que je considére comme un "arbre de conscience", tant il est précis dans son art de la pêche, tant il est observateur, tant il est affable pour celui qui l'écoute, tant c'est un plaisir de pêcher à ses côtés.

La vie est un fleuve, pas toujours tranquille, et c'est justement comme nos amis salmonidés, qu'il est souvent plus intéressant de remonter à contre-courant, pour faire naître d'autres idées, pour nos enfants et nos descendants.

Alors ne baissez pas les bras, engagez-vous là où vous pensez que c'est juste pour défendre vos idées, vos visions, vos poissons et notre nature.

Pour moi, c'est fait, j'en suis fier, la tâche sera rude, les tâches seront toujours énormes, mais quelle satisfaction pour ceux qui construisent, pour ceux qui escaladent, pour ceux qui marchent debout...

a+
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