Le chemin le plus court n'est certes pas toujours le meilleur, et j'ai pu une fois de plus le vérifier ce jour là.
Mais parfois je peux être aussi couillon qu'un saumon de fontaine et je suis littéralement attiré par les chemins de traverse.
En fin de saison, je vous ferai un petit photo reportage sur ma façon bien personnelle d'aborder quelques lacs ariègois,allez té comme ça y en aura pour tout le monde: ceux qui pensent qu'il faut vivre dans le secret et ceux qui cherchent à glaner quelques infos.
De toute façon , il n'y a pas de mystère,la fédé publi les alevinages, ce qui permet d'avoir une idée du lieu de destination
Prendre de l'altitude permet d'éviter la foule,les disputes et de goûter pleinement aux joies de la méditation halieutique.
A 3 heures,on trouve encore du monde, surtout le week end.
A 4 heures, en choisissant bien, les rencontres sont plus rares.
Au delà,y a personne et l'on peut epprouver le sentiment que le lacs appartiennent a ceux qui se donnent la peine ou qui ont encore les jambes pour y accéder.
C'est couillon ce que je dis car quand les miennes ne me porteront plus je serai contraint d'aller me disputer avec Soub au Lanoux ou avec les Ariègois a Izourt.
En attendant, la semaine prochaine, on va attaquer les photos a plus de 2400, sans se fendre le crane si possible.
De bien haut, je pourrais voir seb 66 plier la bourriche pour rentrer en terre Cathalane.
Je fais le malin, mais s'il est encore gelé,je vais pas rire sur le coup.
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olive 11,mais je préfère le manié